Dans le domaine de la création d’entreprise ou lorsqu’il s’agit de s’engager dans un tout nouveau projet, la phase de démarrage est celle qui est la plus difficile. C’est celle qui requiert davantage de dépense. L’autofinancement, ou se contenter de ses propres apports n’est alors pas toujours suffisant. Il est souvent obligé de trouver des financements complémentaires. Connaître les meilleures techniques de collecte de fond est donc essentiel pour recueillir des dons majeurs.
Les bonnes attitudes
La première chose à faire est de bien définir ses besoins et ses objectifs pour faciliter la présentation du projet aux donateurs potentiels. Ils ont toujours besoin de voir un plan bien détaillé du projet qui comprend les activités de l’entreprise, les besoins en ressources humaines et financiers et aussi de la projection du développement de l’entreprise dans les années à venir. Pour ne pas avoir des difficultés lors de la négociation, il faut se préparer aux critiques possibles. Demander l’avis à son entourage est ainsi un moyen de détecter les failles. Il ne faut pas aussi hésiter de modifier les détails de son projet en fonction des événements et des situations présentes. De même, il est conseillé de présenter ses projets à plusieurs bailleurs en fonction du stade de développement de son entreprise.
Les attitudes à bannir
Lors d’une recherche de financement, il faut éviter des erreurs dans ses démarches. Le plus important est de rester fidèle à son objectif. En d’autres termes, il ne faut pas dénaturer ses projets en se conformant aveuglement aux critères des différents modes de financement. Il ne faut pas aussi demander une somme très élevée au risque de rendre mal à l’aise les bailleurs. De même, il ne faut pas demander une très petite somme. L’idéal est de baser le montant recherché à partir des études et des analyses préalables effectuées. Pour finir, il ne faut pas négliger les complexités des démarches. Au contraire, il faut se renseigner en rejoignant les différents réseaux des entrepreneurs.